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Non il n’est pas interdit d’introduire des oeufs coquille dans les cantines scolaires !

Cette idée reçue est diffusée par les Oeufs-Un-Plus-Bio-212x300adeptes de l’hygiénisme à outrance que nous dénonçons sur ce blog. C’est ce qui nous apprend Un plus Bio, l’excellent site d’information pour une restauration collective de qualité qui vient de publier une note très intéressante sur le sujet (A télécharger à la fin de cet article).

Une note de service de la Direction générale de l’alimentation (DGAL) datée d’août 2006 énonce simplement une série de recommandations à destination des professionnels quant à l’utilisation des oeufs coquille «  pour une meilleure maîtrise du risque de salmonellose ».

Pour recourir aux oeufs coquilles en restauration collective, la principale disposition réglementaire est de choisir des produits issus d’un centre de conditionnement agréé, centre dont sont obligatoirement équipés les éleveurs de plus de 250 poules pondeuses.

Après tout la vente d’oeufs coquilles reste la règle en grande distribution, preuve qu’ils sont compatibles avec la commercialisation en gros volumes.

Alors réclamons des oeufs coquille dans les cantines de nos enfants.

A télécharger: Les oeufs coquilles en restauration collective : dommage de s’en priver

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Ce jeudi 11 décembre dernier, le Groupement des Agriculteurs Biologiques d’Ile-de-France s’était entouré d’une quinzaine de partenaires (des représentant de la profession agricole jusqu’aux sociétés de

Carine Thierry – Présidente de la Coop

restauration collective, en passant par nombre d’institutions et collectivités) pour annoncer la création de la nouvelle Coop Bio Ile-de-France, coopérative créée sous forme de SCIC (Société Coopérative d’Intérêt Collectif), dans le but de mettre en place des ateliers de transformation d’envergure pour rendre les produits bio franciliens accessibles à la restauration collective, notamment. 150 acteurs du territoire s’étaient déplacées pour l’occasion dont votre serviteur. Je reprends les éléments qui m’ont été communiqués à posteriori et je publie quelques photos prises sur place.

Arboriculture :
+115 ha de pommiers bio, c’est ce que  pourrait absorber la restauration collective francilienne à raison de 4 poires bio locales par convive et par an.
Légumes de plein Champ :
+120 ha de pommes de terre bio sont nécessaires pour approvisionner la restauration collective d’IdF à raison de 4 portions de pommes de terre bio locales par convive et par an.
Produits laitiers :
2 millions de litres de lait sont nécessaires pour approvisionner en yaourts la restauration collective francilienne à raison de 4 yaourts bio locaux  par convive et par an.
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Séverine Dubosc (directrice de l’école du Breuil), Nathalie Zanato (Fermes Bio IDF), Christian Pierre (président du GAB IDF)

En 2011, Afin de structurer l’offre de production biologique francilienne, 27 agriculteurs se sont organisés en association : « Fermes Bio d’Ile-de-France ». Objectifs : commercialiser les productions bio régionales en restauration collective et réseaux de magasins bio spécialisés, avec une valorisation des produits à un juste prix. Fort de cette expertise, le GAB IdF, en lien avec Fermes Bio d’IdF, est désormais en mesure de donner une visibilité et des chiffres sur la demande en produits bio locaux (cf. ci-dessus et dans le dossier de presse).

Charge aux producteurs actuels et futurs de presser le pas : l’agriculture biologique peut être une solution économique pour les exploitations franciliennes.
Et les agriculteurs biologiques franciliens ne comptent pas s’arrêter là : afin de pénétrer davantage ce marché en forte expansion, la SCIC « Coop Bio Ile-de-France » vient de voir le jour dans le but de créer des ateliers de transformation d’envergure.  Objectif : mettre en marché des volumes de produits biologiques plus importants adaptés à la demande à des prix plus accessibles. En effet, l’expérience de mise en marché de « Fermes Bio d’IdF » a montré qu’il était nécessaire de transformer notamment les légumes verts pour pouvoir les intégrer aux menus des restaurants collectifs en surgelé par exemple.
Carine Thierry, présidente directrice générale de « Coop bio Île-de-France » explique le principe : « Je vois dans ce projet une réponse pertinente aux attentes sociétales identifiées aujourd’hui : origine des produits, santé publique à travers la conversion biologique des terres, emploi et enfin reconnexion du consommateur au territoire.

Carine Thierry, Christian Pierre, Corinne Rufet (VP région IDF en charge de l'agriculture)

Carine Thierry, Christian Pierre, Corinne Rufet (VP région IDF en charge de l’agriculture)

Coop Bio Île-de-France devra donner forme à nos idées communes, à savoir :
– mettre en œuvre un outil de transformation de fruits et légumes rendant disponibles nos produits toute l’année,
– mettre en œuvre une contractualisation de nos productions à des prix rémunérateurs,
– assurer un approvisionnement en produits bio locaux aux collectivités à des prix plus compétitifs
– au-delà de nos fruits et légumes, développer les filières de transformation (pain, abattage, découpe, …),
– garantir la transparence de nos fonctionnements pour les sociétaires.»
32 sociétaires font déjà partie de cette nouvelle coopérative. Collectivités, clients, transformateurs et autres sont invités à y participer dès maintenant.

Le 11 décembre a permis de confirmer l’intérêt des acteurs franciliens pour ce projet puisque le Conseil Régional d’Ile-de-France et les Conseils Généraux du Val-de-Marne de l’Essonne et de Seine-et-Marne ont affiché leur soutien à Coop Bio IdF avec enthousiasme. Par ailleurs, plusieurs structures de restauration collective se sont dites très intéressées. Affaire à suivre avec en ligne de mire 2016 et la création d’un premier atelier de transformation.

Dossier de presse téléchargeable ICI
Suivez l’actualité du GAB IdF sur : https://www.facebook.com/Bioiledefrance.GAB
Retrouvez les photos de l’événement sur https://plus.google.com/+AngéliqueGABIdF>> Vous voulez intégrer du bio en restauration collective, contactez : Alice Clerc, 01 84 83 01 77, a.clerc@bioiledefrance.fr
>> Vous voulez en savoir plus sur Fermes Bio d’Ile de France ou Coop Bio Ile-de-France, contactez : Nathalie Zanato, 07 86 51 87 33, n.zanato@bioiledefrance.fr
>> Vous êtes agriculteur, contactez : Pierre-Nicolas Grisel, 01 84 83 01 81, pn.grisel@bioiledefrance.fr

Prochaines dates de formation pour les agriculteurs spécialisés en Grandes cultures : 

  • 20 janvier 2015 : Triage des grains stockés à la ferme – Techniques pour optimiser la qualité des récoltes en agriculture biologique (Chaussy – 95)
  • 26 février 2015 : Produire et commercialiser des légumes de plein champ bio (Les Mureaux – 78)

Pour + d’infos ou s’inscrire, merci de contacter Pierre Nicolas Grisel : pn.grisel@bioiledefrance.fr

Contact presse : Angélique Piteau, 06 86 64 21 11, a.piteau@bioiledefrance.fr

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Source: Nouvelle République

Je suis tombé sur un article de la Nouvelle République à propos des cantines scolaires de la ville de Tours. J’en ai repris un extrait qui montre à mon avis la perversité de certains arguments employés pour ne pas proposer plus de produits bio des les cantines scolaires.

Sur un budget alimentation de trois millions d’euros, la Ville en dépense, par ailleurs, environ 20 % en produits issus de l’agriculture biologique. Chaque midi, une « composante » (lire ci-dessous) du repas des élèves est donc bio. Pour Anne Tallois (1), il serait compliqué, à Tours, de proposer plus : « Plus de 80 % des écoliers déjeunent à la cantine. La filière bio locale ne peut donc pas toujours répondre à ces effectifs. Et faire venir des produits bio d’autres régions, voire d’autre pays, reviendrait à augmenter fortement notre empreinte carbone. »

(1) Anne Tallois est responsable de la restauration au sein du service éducation de la mairie (NdR)

On entend effectivement fréquemment cet argument selon lequel, la filière locale ne pouvant pas suivre la demande, on ne peut pas introduire plus de produits bio dans les menus des cantines scolaires.

Il est symptomatique que l’argument de la proximité ne soit invoqué que pour les produits bio. Je serai curieux de connaître la provenance des produits non bio servis aux enfants tourangeaux? Les tomates proviendront probablement d’Espagne et cela ne choquera personne. Pour moi l’argument de la proximité est invoqué pour ne pas faire l’effort de faire plus en faveur du bio.

Je refuse donc cet argument car entre 2 contraintes: mieux nourrir mes enfants ou augmenter mes émissions de CO2, je choisis d’emblée la 1ère sans hésiter tout en travaillant sur la durée à limiter la 2nde. J’aurais donc préféré que la responsable de la restauration de Tours nous dise:

Nous travaillons actuellement avec les producteurs locaux pour qu’ils se convertissent et que leur production monte en puissance. Dans l’attente et afin de garantir immédiatement une nourriture saine à nos enfants, nous ferons ponctuellement appel à des producteurs bio d’autres régions françaises voire éventuellement d’Italie ou d’Espagne pour autant que ces produits soient de saison.

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Vendredi 26 septembre dernier j’étais invité par l’Agence Bio à participer au repas bio organisé en mairie du 2ème arrondissement de Paris à bioetlocall’occasion de la Fête de la Gastronomie et de la campagne « Manger Bio et local c’est idéal« .

Nous avons pu à cette occasion goûter l’excellent yaourt bio fabriqué en Île de France grâce à l’action du Groupements des Agriculteurs Biologiques (GAB) d’Île de France et sa chargée de filière Marie Clémentine Foussat (sur la photo !!).

La genèse du lancement de ce yaourt bio tient à un double constat. Premièrement, si une cantine scolaire souhaitait s’approvisionner en yaourts bio d’Île-de-France, ce n’était pas possible ; c’étaient les associations de producteurs des régions limitrophe qui fournissaient les yaourts proposés aux restaurants scolaires. Et pour cause, il n’existait pas d’atelier de transformation de yaourt à partir du lait bio d’Île-de-France. Deuxièmement, l’élevage francilien est en déclin : 5 éleveurs au moins par an n’ont pas de repreneurs. Une des solutions : convertir sa ferme en agriculture biologique, mais cela n’est vraiment rentable que s’il est possible de valoriser son lait en bio.yaourt_bio_idf

C’est dans le but de répondre à ces 2 problèmes qu’un atelier de transformation de yaourts bio d’IdF a été mis en place en Seine-et-Marne grâce à un partenariat entre Yves de Fromentel, éleveur biologique à Pécy (77), en plein cœur de la Brie laitière, et la Ferme de Sigy, nouvelle laiterie artisanale installée à seulement 27 km de chez lui. Cette collaboration a pu voir le jour grâce l’accompagnement du GAB IdF.

Aujourd’hui les cantines d’Île de France peuvent donc s’approvisionner en yaourts bio fabriqués en île de France.

A télécharger: CP BANQUET BIO

Pour en savoir plus:

Angélique Piteau
Responsable communication, observatoire & partenariats associatifs
Groupement des Agriculteurs Biologiques d’Ile de France (GAB IdF)
7 bis rue Riquet 75019 PARIS
Standard : 01 84 83 01 80 / Fax : 01 84 83 01 85
Lignes directes : 01 84 83 01 75 / 06 86 64 21 11
Mail : communication@bioiledefrance.fr

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J’ai le plaisir de vous présenter La Cagette Biologique, grossiste en fruits et légumes bio installé sur le Min de Rungis dont j’ai rencontré la responsable commerciale récemment.

La Cagette Biologique travaille depuis l’origine en partenariat avec des agriculteurs locaux (Ile de France et région Centre). Les fruits et légumes commercialisés par l’entreprise sont toujours des produits de saison avec deux gammes complémentaires. Les Goûts d’Ici regroupe l’offre issus de l’agriculture de proximité, moins de 150 km de Paris. La Cagette Biologique a également une offre de fruits et légumes bio plus généraliste issus en grande majorité des régions françaises.

Créée en 2004, l’entreprise a démarré son activité par de la vente au détail sur plusieurs marchés du sud de l’agglomération parisienne. Depuis 2007, La Cagette a développé une activité de négoce à destination de plusieurs clientèles : magasins spécialisés bio, vendeurs sur les marchés, restaurants. Elle est aujourd’hui organisée pour aborder également le marché de la restauration collective. Son importante gamme locale est un atout alors que la demande pour les produits bio et locaux se développe fortement.

Pour en savoir plus : www.lacagettebio.fr

Contact: Juliette Ghiulamila
Responsable du Développement Commercial
La Cagette Biologique
06 82 07 43 69

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« Ma Cuisine Dans Mon Ecole » est un concept de restauration scolaire mis au point par Philippe Durrèche pour réintroduire la cuisine dans les cantines scolaires.

Cette solution revient à faire de la cuisine dans les écoles, avec des produits livrés chaque jour à partir d’une plate-forme regroupant les fonctions de magasin central, de légumerie et de pâtisserie.

Ce concept est né des insuffisances constatées sur le concept de cuisine centrale et les modes de livraison qui se sont développés autour. La liaison chaude (livraison des repas cuisinés le jour même) présente des risques sanitaires et à une capacité de production limitée à 1500 repas/jour. La liaison froide (livraison des repas cuisinés la veille) avait dérivé vers un simple assemblage de produits issus de l’industrie agro-alimentaire au détriment de la qualité organoleptique et de la santé des enfants.

Avec « Ma Cuisine Dans Mon Ecole » Philippe Durrèche souhaite réintroduire la cuisine dans les écoles en en retirant les contraintes logistiques qui entraîne progressivement la reconversion de ces cuisines en offices de réchauffage.

Le concept s’articule autour des 3 idées suivantes qui se cachent derrière l’acronyme MaPaLe : MAgasin, PAtisserie et LEgumerie.

Un magasin central va collecter tous les ingrédients en provenance des différents fournisseurs et redistribuer chaque jour la quantité nécessaire pour que chaque cuisine produise les repas du jour. Le magasin sera équipé de capacités de stockage (chambres froides..) et de suivi de la traçabilité des produits que ne peuvent pas s’offrir chaque cuisine d »école.

Ce magasin servira également de légumerie afin de pouvoir traiter les fruits et légumes livrés bruts depuis le fournisseur. Cet équipement permet ainsi de s’approvisionner directement auprès des producteurs de fruits et légumes sans passer par des intermédiaires. Grâce à ce système, les enfants vont redécouvrir la purée avec des vraies pommes de terre, le bon goût des carottes bio, le plaisir de manger de vraies ratatouilles, à l’opposé du ‘gloubi-boulga’ issu des conserves ou des plats surgelés.

Enfin l’infrastructure pourra héberger également une pâtisserie afin de confectionner de la pâtisserie fraîche à partir d’ingrédients livrés directement au magasin central. Aujourd’hui les pâtisseries livrés dans les écoles sont d’origines industrielles et sont très chères. L’objectif ici est de produire la pâtisserie sucré mais également les pizzas, quiches à partir de produits sélectionnés par la ville ce qui évitera la consommation des produits industriels fabriqués à partir d’huiles végétales hydrogénées et dont les coûts sont très élevés.

Le concept de MaPaLe s’adresse principalement à des communes qui envisagent de reconditionner leurs cuisines d’établissement pour les mettre au norme. Plutôt que passer en cuisine centrale le concept de MaPale permet de conserver la confection des repas dans les écoles, tout en déléguant les contraintes logistiques au magasin central.

Pour en savoir plus, vous pouvez contacter Philippe Durrèche:

Téléphone : 01 39 73 73 37
Fax : 01 34 51 73 77
Portable : 06 09 28 20 98
Email : durreche@club-internet.fr
Site : rsdfrance.com
Adresse : 12 avenue du Pavillon Sully 78230 Le Pecq

 

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Elisabeth Belaubre est adjointe au maire à la ville de Toulouse en charge de la santé environnementale. A ce titre elle gère la cantine scolaire de la ville.
Mme Belaubre était l’invité de Dijon-Ecolo lors d’une conférence qui s’est déroulée à Agrosup le 6 février dernier. Dans cette captation vidéo elle nous livre son témoignage sur l’introduction de produits bio dans les cantines de la ville de Toulouse.

On y apprend que la ville de Toulouse accueille 90% des enfants à la cantine scolaire grâce notamment à une politique tarifaire  qui propose la gratuité aux faibles revenus. Elle propose plus de 30% de produits bio (en % des achats) dans ses menus.

Son témoignage remet en cause un certain nombre d’idées reçues notamment concernant les cuisines centrales. Selon Mme Belaubre: « les cuisines centrales sont le top du top de ce qu’il ne faut pas faire » !!! Selon ses calculs et après avoir beaucoup consulté avec ses collègues les très grosses cuisines centrales coûtent en fait plus chers que des cuisines autonomes. Cela est du principalement au fonctionnement en liaison froide de ces cuisines centrales. Ce mode opératoire est très coûteux en énergie:

– Pour produire les plats, les refroidir instantanément et les réchauffer le lendemain dans les offices des écoles.

– Pour acheminer les plats chaque jour dans les 25 écoles de la ville à l’aide de 12 camions

On apprend également dans cette vidéo que la ville de Toulouse possède elle aussi une régie agricole de 300 ha que Mme Belaubre a converti au bio.

Le seul projet qui n’a pas abouti pour l’instant est la mise en place d’une légumerie car les services vétérinaires s’inquiètent de la vétusté de la cuisine centrale. Mme Belaubre étudie alors la possibilité de créer des cuisines centrales de taille moyenne qui pourraient livrer les offices en liaison chaude et qui seraient équipées chacune d’une légumerie.

Pour en savoir plus sur: les OGM dans les cantines scolaires de la ville de Toulouse

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Le maire d’Ungersheim nous montre qu’une cantine bio ne saurait être qu’un élément parmi d’autres lorsque l’on veut reconstruire un éco-système durable. Ungersheim est un bel exemple d’une ville en transition où la question du développement durable est traité sur le plan de l’énergie, de l’agriculture et du social (avec le chantier d’insertion).

Certes il s’agit d’une petite ville mais l’exemple donne à réfléchir.

Pour en savoir plus: Ungersheim, un village en transition

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La ville de Strasbourg a confié la gestion de sa restauration scolaire à la société l’Alsacienne de Restauration avec comme objectif de réduire les émissions de gaz à effet de serre de la cantine scolaire de 3% par an.

Un des moyens d’atteindre cet objectif est de réduire les quantités de viande consommées. C’est pourquoi l’Alsacienne de Restauration propose chaque trimestre « un repas bon pour ta planète » c’est-à-dire un repas sans viande. En l’occurrence il s’agissait de  pâtes « bolognaises végétale »  à base de lentilles, carottes sauce tomate et parmesan.

On apprend également dans cet article de 20 minutes que la cantine propose entre 20 & 40% de produits bio dans ses menus et que 60% de ces produits bio viennent d’Alsace.

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Nous nous étions fait écho du souci de la ville de Toulouse d’interdire les OGM dans les produits alimentaires servis dans les cantines scolaires de la ville.

Elisabeth Belaubre, adjointe en charge des affaires scolaires nous a gentiment envoyé le cahier des clauses techniques particulières qui régie l’achat des matières premières de la cuisine centrale. Nous l’en remercions vivement.

Vous pouvez le télécharger en cliquant ici: CCTP – ville de Toulouse

Elle nous précise également que la ville travaille  sur un projet d’approvisionnement en viande bio, locale, en filière courte dans l’objectif du remplacement progressif et de plus en plus efficacement, de la viande traditionnelle par de la viande bio.

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